En Guadeloupe, la nature est sublime... il suffit de parcourir l’île et ses dépendances pour être vite conquis, séduits. Sans être physiquement présent, les pages de ce site vous en donnent une idée assez précise.
Commençons par affirmer que beaucoup s’emploient à préserver ce capital, à le mettre en valeur intelligemment, à faire inlassablement ce que d’autres défont ! De plus en plus de gens, surtout jeunes, s’emploient à éduquer, informer, nettoyer, convaincre, embellir... D’autres, peut-être minoritaires, poursuivent une attitude de dédain, de mépris pour le respect de l’environnement et sont réfractaires à toute évolution, provocants quelquefois et donnant un exemple déplorable à leurs enfants. L’évolution des mentalités progresse cependant, lentement, lentement et pas toujours grâce aux décideurs institutionnels qui ne semblent pas tous persuadés des dégâts des pollutions en tous genres agissant sur notre santé, notre regard et celui de nos visiteurs !
Un jour, ces quelques images et pas les pires, seront des images d’archives mais aujourd’hui, elles sont encore bien présentes au détour d’un chemin, au centre d’agglomérations, dans des lieux publics et jusqu’au cœur des forêts…
Les auteurs anonymes de ces agressions se cachent pour déverser à la sauvette leurs gravats, poubelles, appareils électroménagers en panne, animaux crevés dans des sacs puants, entrailles ou autres abominations ! Il y a aussi les emballages de sandwichs, les canettes de métal ou de verre et emballages vides de yaourts qui sont jetés, par d’autres, le plus naturellement du monde, sans scrupule ni même conscience du geste coupable, jusqu’aux pieds des passants ou par la glace baissée d’un véhicule, même suivi par un second !
Il y a aussi, les “incivilités” et autres aberrations vis-à-vis de la végétation, le sort fait aux chiens errants le long des routes, (bœufs et cabris ont droits à plus d’égards !), le pillage des fonds marins et de certaines rivières de montagne…
Arrêtons ici sinon nous finirons par aborder les dégâts que se font subir mutuellement les humains... et là, le sujet est si vaste...
Dommage ,... dommage,... dommage... ! ! !
Dommage,... dommage,... dommage... ! ! !
Dommage,... dommage,... dommage... ! ! !
Alors, avant de retourner vers de nouvelles découvertes plus charmantes au gré des mornes, des traces, des îlots ou même des délicieusement secrets cocolos, osons montrer un échantillon de ces déversements irresponsables, “courageux” et sauvages si prisés par les rats, les scolopendres et les chiens errants. Le spectacle et l’odeur ne sont pas toujours ragoutants, leur présence dure quelquefois bien longtemps et ils bénéficient de la génération spontanée ! ! !